Film noir - Cycle Robert Siodmak


Suite à notre précédant article, commençons notre descente dans les rues sombres des films noirs avec le réalisateur Robert Siodmak. Une sélection de 7 films, qui pourra, le cas échéant, être mise à jour au fur et à mesure de nos découvertes.

Robert Siodmak - Fiche IMDB

Le suspect (The suspect) Robert Siodmak 1944
Les mains qui tuent (Phantom lady) 1944  
Les tueurs (the killers) 1945 *
Double énigme (The dark mirror) 1946
Deux mains, la nuit (The spiral staircase) 1946 *
La proie (Cry of the city) 1948
Pour toi j'ai tué (Criss cross) 1949 *

* Top Film Noir de l'Avenue
Un mari qui a tué sa femme devient l'objet d'un chantage...
(ajout du 09 juin 2017)


La police soupconne Scott Henderson du meurtre de sa femme, retrouvée étranglée. Sa secrétaire, Carol Richman, va tenter d’enquêter sur ce meurtre et se fait aider d'un ami de Scott, Marlowe. Mais peu a peu les témoins disparaissent. Elle finira par retrouver l'assassin, grâce a un curieux chapeau de femme.(Allo ciné)

"Dans une atmosphère particulièrement moite (le nuits d'été torrides de New Yor), le film visite des lieux endiablés où le free-jazz réveille tout sorte de pulsions sexuelles" (critcat.com)

"Avec Les mains qui tuent, Siodmak (...) s'est imposé comme l'un des plus grands esthètes du film noir, créant un univers sombre fait de trottoirs humides, de bureaux miteux, de bars bas de plafond, de snacks bondés et de quais de gare déserts, tous unis par une atmosphère hautement réaliste dans laquelle la qualité expressive de l'image est entièrement due à l'éclairage et à la composition". (Tom Linn dans 'Three faces of Film noir"). 



Deux tueurs débarquent un soir dans un restaurant d'une paisible commune du New Jersey, à la recherche du « Suédois », le pompiste de la station-service voisine. Prévenu du danger par un client, Nick Adams, l'homme ne tente pourtant pas de s'enfuir et est assassiné. Un enquêteur de la compagnie ayant assuré le pompiste va reconstituer le fil des évènements ayant conduit au meurtre en interrogeant les personnes qui l'avaient connu (source).

"Chaque baiser a découpé son nom sur une autre balle".

"Parangon du film noir, Les tueurs installait définitivement tous les codes d'un genre alors en construction. Une intrigue policière tordue avec rebondissement final, une femme belle en diable, manipulatrice qui tire les cordes, une ambiance nocturne prégnante et une vision assez misanthrope de l'homme, perdu entre désespoir, cupidité et désirs sensuels". (avoir-alire.com)

Notre article sur le blog 
La critique de DVDClassik



Une jeune femme est accusée du meurtre d'un médecin : on l'a vue près du lieu du crime au moment où celui-ci a été commis, et pourtant elle a un alibi indiscutable. La police découvre, en se rendant chez elle, la présence de sœurs jumelles, aucune n'avouant ni ne dénonçant l'autre. L’enquête tourne court, la procédure avorte et les deux sœurs sont remises en liberté. Un lieutenant de police arrive à convaincre un psychiatre (passionné par ce cas et amoureux de l’une des deux jeunes femmes) de l’aider à déterminer, au péril de sa vie, qui est la meurtrière.

La critique de DVDClassik


Un tueur en série sème la terreur dans une petite ville de Nouvelle-Angleterre. Il s'attaque uniquement aux femmes infirmes. Helen, jeune muette, dame de compagnie d'une riche infirme, est inquiète. Mais c'est Blanche, la maîtresse du fils adoptif de sa patronne, que l'on retrouve assassinée. 
(film ajouté le 10 /01/2017)


Martin, ganster, est arrêté par son ami d'enfance et policier, le lieutenant Candella, qui l'accuse du meurtre d'une riche new-jorkaise. Parvenant à s'échapper, Martin Rome assassine son avocat véreux et se retrouve poursuivi par le lieutenant Candella. (allociné)



Après deux ans d'absence, Steve Thompson reprend son poste de chauffeur dans la Compagnie des Camions Blindés de Los Angeles. Anna, son ex-femme, s'est remariée avec Slim Dundee, un gangster. Toujours amoureux d'elle, Steve la revoit, mais surpris par Dundee, il propose à ce dernier d'attaquer un convoi de fonds le jour de la paie. 

La critique de DVDClassik

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